Vous êtes là. Personne ne vous y a obligé, du moins je l'espère. Vous pouvez donc lire en toute tranquillité ce qui suit, ou bien tout fermer. À vous de voir. De lire ?

mercredi 7 avril 2010

J'ai toujours cru que la vie serait de plus en plus belle...
Aujourd'hui je me rend compte que ce n'est pas tout à fait vrai.

J'ai toujours dis que l'amitié c'était plus mieux que l'amour car elle ne fait pas souffrir...
Mais une fois encore j'ai compris que ce n'était pas vraiment le cas.

J'ai toujours pensé que le temps effaçait les ratures...
J'ai toujours été convaincu que le futur était différent du passé...
J'ai toujours refusé de croire que le silence puisse être d'or...
J'ai toujours voulu espérer que le futur soignerait mes blessures...

J'ai toujours tout voulu anticiper, et il se trouve que je me suis finalement planté.

mardi 6 avril 2010


Marre de tout ça.

Ce blog n'est à la base destiné qu'à une seule personne. Et celle ci n'y vient probablement pas.
On était il me semble plus que de simples amis, je parle au passé évidemment. Comment te faire comprendre tout ça puisqu'il m'est impossible de te voir, de te parler ? Comment savoir ce qu'il en est puisque nous semblons évoluer dans deux mondes complètement opposés ?
Moi je n'en peux plus, tu sais que je t'aime Stella, que je serai toujours là pour toi si tu le demandes. J'ai tout fait pour réparer mes erreurs, pour tenter de nous offrir un monde plus bleu. Mais tu fais comme si tu ne le savais pas. Je n'ai besoin que d'une seule personne, je n'attends que toi, pour être de nouveau moi. Mais tu m'ignores,
Comme si tu ne me connaissais pas.
Stella...
Rien n'est plus puissant que l'ombre de la voix.

J'ai envie de crier Stella, de tout casser, et de rester calme. C'est loin d'être évident d'écrire un texte quand on a l'impression que tout va mal, mais qu'on arrive pas à comprendre pourquoi. Besoin d'écrire des mots qui me rappellent ce que j'ai perdu et que je suis censé oublier. Besoin de ces mots pour rester debout malgré le poids qu'ils ont sur moi. Il y a des fois comme ça... Ou plus rien ne va. Et pourtant on ne pleure pas, mais on ne sourit pas non plus, sourire ne se conjugue plus qu'au passé. L'impression de remord qui me hante m'empêche de trouver une quelconque force. Je ne comprend pas ce que j'ai fais, ni ce qui se passe. J'aurai mieux fais de me taire, maintenant je ferai mieux de revenir en arrière. Un simple mot aurait suffit...


Ne croyez plus jamais en vous, vous n'êtes pas fait pour dominer. Seul les morts dominent, seul leur silence est imposant. À ce silence s'incline la foudre du désespoir, de la haine et de la peur.


lundi 28 décembre 2009

.

Il y a des moments comme ça, où tout semble aller de travers.
On se rend compte de certaines choses, on en découvre des nouvelles, on pleure de nos erreurs, et on regrette d’être nous-même, d’avoir été nous-même, incapable d’agir, de réagir, de prendre la bonne décision au bon moment. La souffrance morale est immense, le seul remède est inaccessible.


On aimerait demander de l’aide, mais on la renie quand elle se présente à nous. Appeler au secours.

Personne ne nous entend, les gens ne comprennent pas ce que notre cœur subit. Des milliers de regrets me rongent de l’intérieur, ma vie s’emplie de vide et de tristesse, de déception…

Quand on a connu la joie, l’amour, l’amitié, et qu’on réalise que tout peut s’effondrer sans avertissement, ces instants de bonheur, de magie, prennent une toute autre dimension. Chaque instant vaut de l’or et on vit chaque instant comme s’il était le dernier… Du moins il le faudrait.
Mais la vie est injuste, et nos faux-pas nombreux. La faiblesse existe en tout être humain. La peur de voir ce bonheur s’envoler nous pousse parfois à commettre d’irréparables erreurs… Et pourtant la vie nous apprend que la plus grande d’entre elle est d’abandonner, de faire une croix sur le passé et d’avancer…

Non, il ne faut pas accepter nos erreurs, pas sans essayer de les réparer, non, nous n’avons pas le droit.

dimanche 13 décembre 2009

J'en peux plus.

Plus de voir tout ça autour de moi...

Amour par ci, détour par là... Un coup ici, un coup s'en va.
Moi j'aime mais je n'aime pas. Je sais que j'aime, mais on ne le sait pas.
Parce que si j'aime ça n'inclue pas qu'on m'aime moi...
C'est compliqué, évidement, mais en en même temps, c'est moi!

Alors pour ne pas perdre mon temps, je fais confiance autant à toi qu'au temps. J'attends.

jeudi 3 décembre 2009

Dérisoire bonheur.

Je ne peux plus, non, je ne veux plus voir. Je ne veux pas y croire.
Ni me regarder dans un miroir. Non.
Je ne veux plus de ce monde qui s'autodétruit. Je ne veux pas y croire.
Tant de malheur, tant de douleur. Un monde qui vit dans la peur, ou même la terreur.
Comment accepter de participer à un tel crime contre l'humanité? Peut-on seulement refuser?

Tant de souffrance...
Tant d'injustice...
Tant de mensonges...

Si peu de vie. Où est notre soit-disant conscience avancée qui nous différencie des animaux ?
Je ne la vois pas. Je ne l'ai jamais vu.
Que sommes nous? PIRE.